MarcoServices - informatique langon à votre domicile

Comment protéger les appareils de vos ados contre les cybermenaces

Les risques liées à la rentrée : comment protéger les appareils de vos adolescents !

Édito :  La rentrée et le casse-tête des parents. En septembre nous avons abordé le thème sur le harcèlement et le cyberharcèlement. Dans ce nouveau dossier comment protéger les appareils de vos ados contre les cybermenaces.

  Nous vous rappelons que nous avons mis à votre disposition un groupe facebook : entraide informatique Sud-Gironde  100% gratuit !!

Retrouvez notre article sur : la rentrée des dangers avec le harcèlement et le cyberharcèlement



Avec la rentrée, nombreux sont les parents qui renouent avec la routine : préparer les enfants pour l’école le matin et les aider à faire leurs devoirs le soir. Toutefois, cette vie ordonnée est bouleversée par les nouvelles technologies, qui redéfinissent les règles de l’hygiène numérique.

Dans cette série d’articles, nous vous expliquons quelles sont les cybermenaces auxquelles les parents devraient être attentifs en ce début d’année scolaire. Commençons par les bases, par le matériel, c’est-à-dire par la sécurisation des appareils dont les écoliers d’aujourd’hui ne peuvent pas (ou peuvent) se passer.


Nous intervenons à votre domicile ou en association  afin de faire de la prévention et de la sensibilisation aux dangers d'internet auprès des parents et de leur adolescent ou uniquement les parents. Et en plus cela est déductible de vos impots.
Ainsi nous lutterons efficacement contre le harcèlement et le cyberharcèlement !

GAGNEZ L'UNE DES 10 LICENCES DE CONTROLE PARENTAL !! (1 licence = 1 familles avec x enfants pendant 1 an)
Pour gagner votre licence remplissez le formulaire ci-dessous :


Que fait votre enfant ou ado pendant la pause de 12h ou quand il rentre ?


Lorsque j’étais à l’école, le seul moyen pour mes parents de savoir si je faisais l’école buissonnière était de consulter mon carnet de correspondance ou d'avoir un appel téléphonique de l'école. Aujourd’hui, les parents ont la vie facile dans un sens : ils peuvent garder un œil sur leurs enfants grâce à des gadgets connectés. L’inconvénient, bien sûr, c’est que ces parents deviennent obsédés par la localisation et la sécurité physique de leurs petits. Même les tout-petits peuvent être surveillés par un "écoute-bébé".  Pour surveiller l’assiduité à l’école, les parents offrent à leurs enfants des montres et d’autres accessoires connectés.

Il existe des problèmes de sécurité communs à tous ces appareils. Tout d’abord, dans la hâte de mettre leurs produits sur le marché, les développeurs omettent souvent de les tester pour détecter les vulnérabilités éventuelles. Deuxièmement, un grand nombre de ces nouveaux appareils disposent d’architectures peu courantes. Cela peut signifier qu’il n’y a pas d’antivirus adapté, ou qu’il n’y a pas d’interface disponible pour mettre en place une solution de sécurité.

Les pirates informatiques y trouvent leur compte : ils peuvent se connecter à une montre connectée et espionner son utilisateur, ou y télécharger un cheval de Troie afin de voler des données précieuses !

De plus, en plus de l’achat d’une montre connectée ou d’un autre accessoire, vous devez surveiller sa batterie, vous débrouiller avec les paramètres, etc. Mais attendez ! Votre enfant a probablement déjà un smartphone, n’est-ce pas ?  Cela signifie que vous pouvez installer Kaspersky Safe Kids (disponible pour iOS et Android) [gagnez le en remplissant le formulaire ci-dessus] qui vous permet, entre autres, de surveiller les mouvements de votre enfant en temps réel. La carte affiche simultanément tous les appareils de vos enfants, ainsi que le niveau de batterie de chacun d’entre eux. Vous pouvez ainsi vérifier en un coup d’œil où ils se trouvent et décider de les contacter pour leur rappeler de recharger leur téléphone.

safekidsPrésentation de l'écran d'accueil de SAFEKIDS indique à la fois la position de votre enfant et le niveau de charge restant sur leur téléphoneet bien plus encore...




Des gadgets pour étudier ? Si c'était le cas...

Avec le passage aux outils pédagogiques numériques, les parents sont confrontés au choix de l’appareil pour leurs enfants. Un téléphone portable ne fera pas l’affaire : les petits écrans nuisent à la vue. Et pour rédiger une dissertation, il leur faut un clavier normal.

Un iPad ou un MacBook Air flambant neuf, alors ? S’il s’agit d’un jeune écolier débordant d’énergie, je ne le conseillerais pas. Ou alors la tablette ou l’ordinateur portable coûteux devraient être très solides, tout comme vos nerfs. Ne me demandez même pas combien d’écrans cassés j’ai déjà dû remplacer, moi qui suis père de trois enfants. Ces problèmes ne disparaissent (si vous avez de la chance) qu’à l’adolescence, lorsque vos enfants commencent à faire plus attention à leurs appareils, probablement parce qu’ils veulent faire comme les autres, car à cet âge, la vie sociale est primordiale et, pour les jeunes d’aujourd’hui, une grande partie de cette vie se déroule en ligne.

Une autre solution possible : donner à votre enfant un ordinateur portable ou une tablette d’occasion ? Votre portefeuille vous en serait reconnaissant, mais ce n’est pas une situation où tout le monde est toujours gagnant. Vos anciens appareils doivent être nettoyés (au moins numériquement) avant de se retrouver dans les mains de vos enfants. Pour les tablettes et les appareils mobiles, il est préférable de réinitialiser complètement tous les paramètres et d’effacer les données, et pour les ordinateurs portables, réinstaller le système d’exploitation. Supprimez également toute trace de vos identifiants Apple ou Google si vous ne voulez pas répéter l’expérience de mon épouse : elle a donné à notre fille son ancienne tablette, qui était encore connectée à tous ses comptes… liés à ses cartes bancaires… Après quelques minutes de jeu, notre fille est passée à la caisse !

Les tablettes et les ordinateurs portables « scolaires », qui sont des modèles plus simples et moins chers, sont également une option. Certains d’entre eux, comme les Chromebooks, sont même considérés comme étant plus sécurisés. Cela dit, de nombreuses menaces (comme les fausses extensions de navigateur, les mineurs de cryptomonnaies cachés, les sites Web malveillants ou de phishing) touchent également les Chromebook.



Les parasites des réseaux WiFi

De nos jours, de nombreux conflits entre parents et enfants sont dus au fait que les enfants passent trop de temps en ligne ou visitent des sites inappropriés. La méthode de contrôle la plus courante consiste à limiter à la fois le temps d’utilisation des écrans et l’accès à ceux-ci à l’aide d’une application de contrôle parental comme Kaspersky Safe Kids. Toutefois, certains parents pensent qu’il suffit d’imposer des restrictions générales sur Internet : lorsque le forfait payé est épuisé, il n’y a plus d’accès.

Malheureusement, cette mesure ne fait qu’encourager les enfants à chercher un accès gratuit à côté. Et ils ne manqueront pas d’en trouver un ! Soit un ami créera un point d’accès Wi-Fi sur son iPhone dans la classe, soit un café voisin permettra à n’importe qui de se connecter sans mot de passe. Inutile de dire qu’il est facile de tomber sur un faux point d’accès et d’être victime d’escroquerie.

Il y a deux façons de remédier à ce problème. L’option radicale consiste à interdire les connexions aux réseaux Wi-Fi inconnus sur le smartphone de votre enfant et à bloquer l’accès aux paramètres de l’appareil à l’aide d’un code de sécurité supplémentaire (pour les smartphones Android lors de l’utilisation de Kaspersky Antivirus & VPN) ou d’un contrôle parental. Cette mesure devrait suffire pour les plus jeunes.

Avec les adolescents, les interdictions risquent d’échouer. Vous devrez donc adopter l’option plus libérale consistant à enseigner à votre enfant les règles d’une utilisation sûre des réseaux Wi-Fi. Ils doivent notamment savoir qu’un VPN ne sert pas uniquement à naviguer anonymement sur des sites douteux, mais à chiffrer la connexion, même en cas d’utilisation d’un réseau Wi-Fi non sécurisé.

Une protection maximale

Cependant, quelle que soit la manière dont vous expliquez les règles de la cybersécurité à vos enfants, n’oubliez pas qu’ils sont beaucoup plus jeunes et plus naïfs que vous, et donc plus vulnérables aux escroqueries en ligne. C’est pourquoi il est indispensable d’installer et de configurer une solution de sécurité fiable sur chacun des appareils que vous leur confiez. Une solution qui protégera vos enfants non seulement contre les virus, mais aussi contre le phishing, les appels de spam et les fuites de données, et qui assurera la protection de leur vie privée en ligne.


F.A.Q sur Kaspersky Safe Kis


Question : L'application est-elle compatible avec un iPhone ?
Oui, Kaspersky SAFEKIDS est compatible avec la marque et les produits Apple, suffit d'installer la version depuis votre Apple Store.

Question : Y a-t-il une sécurité si mon adolescent réinitialise son téléphone ?
Oui, lors de la configuration on peut sécuriser que l'application reste sur le téléphone si l'enfant souhaite essayer de contourner la protection du contrôle parental.

Question : Si j'ai 2 enfants est-ce que je dois avoir 2 licences ?
Non, la licence couvre jusqu'à 100 appareils connectés, donc si vous avec 1, 2, 3 enfants ils sont pris en charge par la licence. 1 licence = 1 famille peut importe le nombres d'enfants et le nombres d'appareils à protéger.

Question : Le prix de 25€ c'est pour la première année, mais lors d'un renouvellement cela coute plus cher ?
Non, nous avons un tarif fixe, 25€ que cela soit pour la première année ou un renouvellement en passant par nos services!

Question : Peut-on interdire à mon ado de 13 ans d'aller sur les sites à caractères pornographique et lui limiter le temps d'accès à internet ?
Tout bon contrôle parental, doit bloquer les sites ou images à caractères pornographiques, donc oui dans la configuration vous pouvez interdire des thèmes de recherche et bien plus. Pour ce qui est du temps de connexion, bien entendu vous pouvez l'autoriser au temps de votre choix et le remoduler comme vous le souhaiter cela n'est pas fixe.


Tags